Depuis deux ans, la crise sanitaire a accentué l’intensification de la charge de travail et de la charge mentale de l’ensemble des personnels des centres et établissements de soins MGEN. Le plan de transformation, la réduction des effectifs, la polyvalence, la mise en place d’outils de surveillance accrue et le choix d’une politique salariale individualiste, favorisant certains au détriment d’une majorité maintenue sous l’évolution du coût de la vie, ont conduit plus d’une tiers des salariés MGEN à se mobiliser le 1er février !